Chenille:
J’ai intégré le FEDJA sans savoir que ça allait changer ma vie.
J’ai rencontré Audrey-Anne sans savoir qu’elle allait changer ma vie.
Pour le mieux.
Il y a deux ans, j’adressais mes premières paroles à une personne qui allait devenir une amie, une alliée.
Pour être honnête, je savais qui elle était avant de lui parler et elle m’intimidait. Pas dans le mauvais sens. Dans le beau sens. Celui qui te donne envie de ne pas tout gâcher à la première impression.
Audrey-Anne c’est le genre de personne qui intimide par sa force de caractère, par l’ardeur dans laquelle elle entreprend tous ses projets et par la ténacité dans laquelle elle prend position. Rien n’est laissé de côté avec elle.
Audrey-Anne c’est le genre de personne qui s’embarque dans mille et un projet, mais qui livre tout de même la marchandise, et ce, de manière exemplaire, tout en continuant de supporter son entourage. Rien ne lui échappe.
Audrey-Anne est toujours au rendez-vous quand on a besoin d’elle, et même quand on pensait ne pas en avoir besoin. C’est la personne pour absolument tout :
- Si vous voulez qu’une chose soit bien faite
- Si vous voulez qu’une amie vous écoute
- Si vous voulez rire
- Si vous voulez relativiser par rapport à l’école
- Si vous avez besoin de ventiler
- Si vous voulez parler de crèmes et de bain
Audrey-Anne a la capacité de créer de grandes choses avec peu. Tout ce qu’elle touche se transforme en grandiose réalisation.
Audrey-Anne a également le pouvoir surhumain d’illuminer une pièce par sa simple présence. Sa pétillante personnalité n’a pas besoin de champagne pour vous épater.
Audrey-Anne c’est avant tout une humaine hors pair qui se préoccupe d’autres choses que de son nombril.
Audrey-Anne c’est une femme forte et hautement passionnée au dévouement sans fin, ce qui peut en effrayer plus d’un à l’occasion. Or, elle n’a rien de méchant. Elle est d’une douceur inconcevable. Elle n’hésite jamais à prendre la parole pour faire valoir ses points et ceux qui profitent aux autres. Le tout dans un respect irréprochable. Ce que je donnerais pour avoir une infime partie de toute sa force et être capable de mettre mon pied à terre lorsque quelque chose ne fait pas mon affaire sans jamais laisser personne me marcher dessus. J’aspire à avoir un pouce de toute la confiance qu’elle dégage et de pouvoir fièrement défendre mes valeurs aussi bien qu’elle le fait. Elle a réellement été un modèle pour moi dans mon épanouissement au baccalauréat.
Je la trouve exceptionnelle sur tous les plans. Parfois, je pense avoir fait le tour de ses qualités, mais sa personne ne cesse de me surprendre et de m’impressionner.



Cocon:
Il faut dire que notre amitié aura fleuri en même temps que le FEDJA.
Parsemé de fous rires, de complicité et surtout de produits véganes, le lien qui nous unit est spécial.
Si le FEDJA est où il est présentement, c’est en grande partie grâce à Audrey-Anne.
Le FEDJA c’est une famille, parce qu’Audrey-Anne en a fait une famille.
Notre petite famille est fondée sur des liens serrés qui vont bien au-delà des charges normales d’un comité et des rencontres hebdomadaires qui sont supposées durer trente minutes, mais qui finissent toujours par durer des heures de plaisir.
Je suis extrêmement reconnaissante d’avoir pu trouver une collègue en elle à l’intérieur des corridors de la Faculté, mais surtout une amie avec qui tout semble plus facile et moins lourd. Audrey-Anne, c’est celle qui a su apaiser mon sentiment d’imposteur au sein de la Faculté; je n’ai jamais senti le besoin de courir pour un stage pour avoir de la valeur à ses yeux. Parce qu’avant tout, l’université c’est bien plus que d’avoir des bonnes notes et d’obtenir un stage en droit des affaires. C’est aussi de bâtir des liens solides pour mieux y survivre. Nos fondations ont l’air solides, trouves-tu?


Papillon:
Ça fait trois ans. Trois ans qu’elle se donne corps et âme pour ce comité, son bébé, qui a su, sous ses doigts, grandir pour devenir celui qu’il est aujourd’hui. Cet arbre mature qui n’a plus besoin de rien d’autre que des belles âmes pour l’arroser.
Un tour du chapeau remarquable.
“Sky’s the limit”. Pas pour Audrey-Anne. Ses ailes lui permettent d’atteindre pas mal plus loin que le ciel. Rien ne l’arrête. Elle vise toujours plus haut; d’où pourquoi I look up to her.
La chance que j’ai de l’avoir dans ma vie. La chance que le FEDJA a eu de l’avoir dans la sienne pendant ces trois belles années.
Je suis hyper reconnaissante de la compter parmi mes amies les plus proches. D’avoir pu faire sa découverte. D’avoir eu une amie avec qui se serrer les coudes à travers les embûches que la Faculté et la pandémie mondiale ont mis sur notre chemin.
Je suis convaincue que je ne serais pas la même personne si je n’avais pas intégré le FEDJA.
Je suis convaincue que je ne serais pas la même personne si je n’avais pas rencontré Audrey-Anne.
Je suis convaincue que le FEDJA ne serait pas là où il est présentement sans Audrey-Anne.
Je suis convaincue que le monde a besoin de plus d’Audrey-Anne.
Je suis extrêmement fière que tu gradues cette année, mais ton travail acharné va manquer au FEDJA.
Merci. Pour tout. Pour toi.
Quel privilège d’avoir pu assister à ta métamorphose et à celle du FEDJA directement sous mes yeux.
Hâte de voir où tes ailes te mèneront pour la suite.
À après, ma belle amie